3. Les commerces
3.1 Les épiceries :
- Le « Delhaize », en contrebas de l’église, tenue par Lydie Majerus, épouse de Joseph Henrotte : on y trouvait même des hebdomadaires pour les enfants : « Tintin »…
- « L’Economie Populaire », route de Bœur, à gauche, tenue par Louisa Léonard, épouse d’Anatole Evrard, avec, déjà, des fruits et légumes frais…
- L’épicerie de Madame Dehard, épouse de François Volvert, au début de la rue du « Chantier », à gauche.
- Madame Bertha Lemaire, la dernière maison à gauche avant d’entamer la côte de la « Villette ».
- A la gare, une épicerie, celle de Madame Mathieu.
De RP : On habite actuellement » Au grand bon marché » On a également connu Lydie Majerus (décédée le 26 janvier 1992 et maman de André Henrotte – ancien directeur de Unerg) Lydie était également couturière.
3.2 Les cafés :
- Le « Café de la Jeunesse », derrière l’église, en allant vers l’ancienne Poste, tenu par Gustave Michel-Merenne : la procession de Lendersdorf y faisait une halte chaque année.
- Le café Thill-Guébel, Louisa Guébel, épouse de Joseph Thill, dans la « Villette », 50 m plus haut que la Poste.
A la gare :
Avant le passage à niveau, à gauche en descendant de la gare, Arnold Maquet puis le café François Mathieu. A droite, le café Heusbourg.
Après le passage à niveau, en allant vers Troine, à droite, le café Rommès.

à gauche, dans les années 50, le café Maquet, puis le café Mathieu.
A droite, le café Heusbourg
3.3 Autres commerces :
- Un marchand de vélos et réparations, Syvain Kimmes puis son fils Roland, en face de l’école, un peu plus haut.
- Un marchand de vélos et motos, Pierre Crémer-Degrand’ry, en haut de la rue du « Chantier », à droite.
- Une modiste : Eugénie, dite « Ninie » Deville-Havelange.
- Un dépôt de boucherie : Joseph Gresse, 1ère maison du village en venant de Tavigny. Joseph était aussi le titulaire de l’harmonium, à l’église.
- Un marchand de fruits et légumes, Joseph Thill.
- Un transporteur, en contrebas de l’église, Joseph Simonis et son gendre Marcel Larbière ; cessation du commerce en 1950.
- Un taximan et facteur, Fernand Schloune, qui habitait l’immeuble de l’ancienne Poste (Villette)
A ces commerces, on peut ajouter les commerces ambulants tels que le boulanger Philippart qui venait de Houffalize ainsi que le marchand de fruits et légumes Verheggen, de Houffalize également.
<<A suivre >>

