L’exode palestinien de 1948 fait référence à l’exode de la population arabe palestinienne qui se produisit pendant la guerre israélo-arabe de 1948.
Durant cette guerre, entre 700 000 et 750 000 Arabes palestiniens fuient ou sont expulsés de leurs villes et villages et se voient refuser tout droit au retour sur leurs terres tant pendant qu’après la guerre tandis que plus de 90 % de leurs villages sont détruits.
L’événement est commémoré dans la mémoire collective palestinienne en tant que Nakba (arabe: النكبة, an-Nakbah, lit. « désastre » ou « catastrophe »).
Source Wikipedia
Réfugiés palestiniens lors de l’exode de 1948. Sur les 900 000 Palestiniens qui vivaient dans les territoires qui formeront Israël à l’issue de la guerre de 1948, entre 700 000 et 750 000 fuient ou sont expulsés. Leurs descendants sont aujourd’hui plus de 5 000 0001 et constituent un des plus importants contentieux du conflit israélo-palestinien.
—–
L’abbé Léon Naveau, séminariste à Liège, qui avait séjourné en Terre Sainte avant son ordination, alerta son évêque, Monseigneur Kerkhofs qui réagit en lançant la grande opération Pro Palestina.
De nombreux bénévoles ont récolté dans toute la Belgique des vivres et des vêtements pour les Palestiniens de Galilée. Il a obtenu que les habitants du village d’Eilaboun, dont 15 otages avaient été exécutés, puissent rentrer de leur exil au Liban.
Venu voir le déroulement de l’opération, Monseigneur Kerkhofs a demandé aux habitants de ce village chrétien, ce qu’il pouvait leur offrir de durable, et ils ont souhaité une nouvelle église.
Rentré en Belgique, il a réuni dans son diocèse de Liège-Limbourg suffisamment d’argent et les chrétiens d’Eilaboun lui sont encore aujourd’hui très reconnaissants.
Une plaque le rappelle dans l’église.
Source : Histoire des Amis de la Galilée – http://www.liege.diocese.be